Vendre une entreprise est une étape importante dans la vie d’un entrepreneur. Le processus de vente peut être complexe et nécessite des compétences variées pour obtenir le meilleur résultat possible. Pour vous aider à maximiser la valeur de votre entreprise et assurer une transaction fluide, il est essentiel de vous entourer des bons experts. Dans cet article, nous présentons les 10 spécialistes clés qui peuvent vous accompagner tout au long du processus de vente.
1. Évaluateur d'entreprisesL'évaluateur d'entreprises joue un rôle essentiel dans la vente de votre entreprise. Ce spécialiste analyse vos actifs, vos revenus et votre rentabilité pour établir une valeur réaliste et compétitive. Une évaluation professionnelle est cruciale pour fixer un prix de vente juste et attirer des acheteurs potentiels. Pourquoi faire appel à un évaluateur d'entreprises ?
Pourquoi faire appel à un comptable ?
Pourquoi faire appel à un avocat ?
Pourquoi faire appel à un conseiller en planification de la relève ?
Pourquoi faire appel à un courtier en fusions et acquisitions ?
Pourquoi faire appel à un consultant en efficacité opérationnelle ?
Pourquoi faire appel à un conseiller en ressources humaines ?
Pourquoi faire appel à un consultant en marketing ?
Pourquoi faire appel à un planificateur financier ?
Pourquoi faire appel à un conseiller stratégique ?
Si vous envisagez de vendre votre entreprise, n'hésitez pas à nous contacter pour obtenir des conseils personnalisés et un accompagnement à chaque étape du processus. Nous avons les experts qu'il vous faut pour réussir cette transition ! Appelez-nous au 514.971.3114 ou envoyez-nous un courriel à [email protected] pour plus d'informations sur nos services de vente d'entreprise.
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L'évaluation d'une entreprise est l'une des étapes les plus cruciales lors d'une vente. Que vous envisagiez de vendre dans un avenir proche ou à long terme, obtenir une évaluation précise peut vous aider à fixer un prix de vente réaliste, à attirer les bons acheteurs et à maximiser la valeur de votre entreprise. Dans cet article, nous vous guidons à travers les principales méthodes d'évaluation et vous donnons des conseils pour optimiser la valeur de votre entreprise avant la vente.
Pourquoi l’évaluation est-elle importante ?Une évaluation précise de votre entreprise est essentielle pour plusieurs raisons :
Appelez-nous au 514.971.3114 ou envoyez-nous un courriel à [email protected] pour planifier votre consultation dès maintenant ! Vendre une entreprise est une tâche complexe qui exige de la planification, de la stratégie et de la préparation. Cependant, de nombreux entrepreneurs commettent des erreurs qui peuvent compromettre le succès de la transaction ou réduire la valeur de l’entreprise. Voici cinq erreurs courantes à éviter pour maximiser vos chances de réussite lors de la vente de votre entreprise.
1. Sous-estimer la préparation nécessaireBeaucoup de propriétaires d'entreprise attendent trop longtemps avant de commencer à préparer la vente. La préparation peut prendre plusieurs mois, voire des années, pour maximiser la valeur de l'entreprise et rendre le processus de vente plus fluide. Une planification précoce vous permet de :
2. Mal évaluer l'entrepriseUne erreur fréquente consiste à surestimer ou sous-estimer la valeur de l'entreprise. Les propriétaires ont souvent une connexion émotionnelle avec leur entreprise, ce qui peut nuire à une évaluation réaliste. Une évaluation trop élevée peut décourager les acheteurs, tandis qu’une évaluation trop basse peut vous faire perdre de l’argent. Conseil : Engagez un évaluateur d'entreprises pour obtenir une estimation objective et crédible de la valeur de votre entreprise. Utilisez des méthodes d'évaluation courantes comme le BAIIA, les flux de trésorerie actualisés, ou la valeur des actifs pour obtenir un prix de vente réaliste et compétitif. 3. Ne pas diversifier la base de clientsUne concentration excessive sur un petit nombre de clients peut représenter un risque majeur pour les acheteurs potentiels. Si la majorité des revenus de l'entreprise provient de quelques clients, un changement dans leur comportement d'achat peut entraîner une baisse significative des revenus après la vente. Conseil : Essayez de diversifier votre clientèle avant de mettre votre entreprise en vente. Cela peut inclure l’acquisition de nouveaux clients, la diversification des services ou l’entrée sur de nouveaux marchés. 4. Négliger la documentation et les aspects juridiquesLa préparation des documents de vente est cruciale pour assurer une transition en douceur. Si les contrats, les documents financiers ou les licences sont mal organisés ou incomplets, cela peut entraîner des retards ou des problèmes lors de la diligence raisonnable. Conseil : Assurez-vous que tous les documents nécessaires sont à jour, y compris :
5. Ne pas choisir le bon moment pour vendreLe timing joue un rôle crucial dans le succès de la vente d'une entreprise. Vendre au mauvais moment peut nuire à la valorisation ou compliquer la transaction. Par exemple, vendre lorsque l’entreprise traverse une période de baisse des revenus ou en période d’incertitude économique peut être désavantageux. Conseil : Visez à vendre lorsque votre entreprise affiche des performances solides et une croissance stable. Soyez attentif aux conditions du marché et aux tendances de l'industrie pour identifier le meilleur moment pour vendre. Conclusion : Préparez-vous pour maximiser le succèsÉviter ces erreurs peut augmenter considérablement vos chances de vendre votre entreprise à un prix compétitif tout en assurant une transition en douceur. La clé est de planifier à l'avance, de vous entourer de conseillers compétents et de rester réaliste sur la valeur de votre entreprise. Avec la bonne approche, vous pouvez transformer la vente de votre entreprise en une opportunité réussie et lucrative. La décision de vendre votre entreprise est une étape majeure dans la vie d’un entrepreneur. Que ce soit pour prendre votre retraite, explorer de nouvelles opportunités ou simplement tourner la page, il est crucial de bien planifier cette transition pour maximiser la valeur de votre entreprise. Dans cet article, nous vous présentons un guide pratique inspiré des conseils de la BDC pour vous aider à naviguer à travers ce processus.
1. Planifiez votre stratégie de départLa première étape pour réussir la vente de votre entreprise est de planifier votre stratégie de départ bien à l'avance. Idéalement, commencez la préparation au moins un ou deux ans avant la vente. Cela vous donnera le temps d'améliorer les états financiers, d'optimiser l’efficacité opérationnelle et d’identifier les aspects de l’entreprise qui pourraient augmenter sa valeur. Quelques conseils pour préparer efficacement votre entreprise :
3. Maximiser la valeur de votre entreprisePour obtenir le meilleur prix possible, il est essentiel de maximiser la valeur de votre entreprise. Voici quelques stratégies :
1. Identifier vos raisons de vendre
Lorsque l’on décide de vendre son entreprise, il est difficile de déterminer le quand et le comment, particulièrement à un moment où l’on est submergé par d’autres questions : Quelles seront les répercussions de la pandémie sur la valeur de mon entreprise? Qu’adviendra-t-il de mes employés? L’héritage de mon entreprise et de ma famille sera-t-il préservé? Comment optimiser la valeur? Quelle sera ma vie après la vente? De combien d’argent ai-je besoin pour avoir une retraite convenable?
En l’absence de réponses à ces questions, il est facile de se sentir intimidé et d’abandonner l’idée de vendre. Abordons les raisons les plus souvent évoquées par les propriétaires d’entreprise pour justifier la vente : Retraite — Un propriétaire d’entreprise privée qui approche l’âge de la retraite peut trouver extrêmement difficile de se retirer des activités quotidiennes. Une bonne solution : le changement de propriétaire, qui peut servir de catalyseur à l’élargissement de l’équipe de direction et permettre au propriétaire actuel de faire la transition. Aucun potentiel de relève en interne — Un certain nombre de propriétaires en sont à la première, deuxième ou troisième génération de leur famille à diriger l’entreprise. Cependant, si aucun membre de la famille n’est intéressé ou si aucun membre de l’équipe de direction n’est en mesure d’acheter l’entreprise, que faut-il faire? Dans ce cas, la vente à un tiers pourrait bien être la seule option. Réduction des risques — Il est monnaie courante, pour un propriétaire, d’investir une part importante de son patrimoine dans l’entreprise. Il s’agit d’une position risquée, analogue à celle d’un investisseur dont l’entièreté du portefeuille de placement est composée d’un seul titre d’entreprise. S’il se trouve un associé ou qu’il vend son entreprise, le propriétaire peut diversifier ses actifs et réduire les risques associés à son portefeuille. Éviter une vente forcée — Malheureusement, dans certaines situations, les propriétaires n’ont guère d’autre choix que de vendre leur entreprise. Un décès ou une maladie grave dans la famille ou une baisse importante du rendement financier découlant de la pandémie, entre autres, peuvent nécessiter une vente au mauvais moment. Pour assurer l’efficacité du processus de vente, le propriétaire doit savoir allier contrôle et souplesse. Ainsi, il peut vendre son entreprise quand il le souhaite et non quand il se trouve dans l’obligation de le faire. Quel est le moment opportun pour vendre son entreprise? La décision de vendre ou non n’est pas de tout repos, mais le moment de le faire est tout aussi difficile à déterminer. Les propriétaires sont fréquemment amenés à vendre leur entreprise pour les raisons suivantes : Changements sectoriels importants — La plupart des secteurs subiront des perturbations en raison de la technologie ou de toute autre forme d’innovation. L’investissement qu’il faudra réaliser pour faire face aux perturbations et dominer la concurrence pourrait être trop élevé pour certains propriétaires, notamment compte tenu de leurs fonds disponibles, de leur tolérance au risque et du délai avant d’en voir les retombées. Pour un propriétaire qui n’est pas en mesure de faire les investissements qui s’imposent dans une perspective à long terme, il serait à propos de songer à vendre l’entreprise. Occasions à saisir – Une offre spontanée qui est tout simplement trop intéressante pour être refusée pourrait être soumise à un propriétaire. Celui-ci n’avait peut-être pas l’intention de vendre son entreprise, mais le moment pourrait être opportun dans le contexte où le bon prix, la bonne structure d’affaires et la bonne culture d’entreprise se présentent à lui. Présence dans un marché vendeur — Dans un marché vendeur, où les banques sont disposées à prêter, où les investisseurs cherchent à faire des investissements et où les évaluations sont élevées, le contexte peut être trop favorable pour ne pas en profiter. Les cycles de marché ou de fusion-acquisition s’inscrivent dans le long terme, alors le propriétaire doit toujours se demander s’il a l’envie et la possibilité d’attendre qu’un autre cycle de ralentissement et de rebond se présente avant de songer à faire une telle transaction. La vente en période de ralentissement économique est toujours une possibilité, mais elle s’accompagne du risque supplémentaire de se trouver noyé dans une mer d’autres vendeurs. Génération suivante disposée à prendre la relève — Un propriétaire qui projette transmettre son entreprise à ses enfants ou à son équipe de direction doit être aguerri et bien préparé. Cela dit, il est également important de savoir à quel moment l’équipe est en mesure de prendre le relais. La génération suivante est peut-être impatiente d’assumer les risques et de bénéficier des avantages associés à la participation dans l’entreprise, mais elle pourrait se sentir lésée si l’occasion ne se présente pas. De plus, une transition progressive de la propriété pourrait être la bonne approche pour favoriser la mise en concordance entre la direction et le propriétaire, ainsi que le rendement optimal de l’entreprise dans l’intervalle. Autres facteurs à considérer Il y aurait lieu, pour un propriétaire, d’envisager une vérification diligente financière et une vérification diligente fiscale de son entreprise avant de procéder à la mise en marché. Il serait donc possible de corriger tout problème avant qu’un acheteur potentiel ne les relève et s’en serve comme tactique de négociation pour faire baisser le prix. Que vous décidiez que le moment est venu de vendre votre entreprise ou que vous souhaitiez attendre quelques années encore, la préparation avant la vente est essentielle à l’atteinte de vos objectifs. Une préparation et une planification minutieuses : voilà une recette infaillible pour maximiser le produit après impôt, trouver l’acheteur qui convient à votre entreprise, à ses employés et à son héritage, ainsi que pour préparer votre retraite. BDO peut vous aider La vente de votre entreprise est un processus long et chronophage. Cependant, faire appel très tôt à un conseiller de confiance peut vous aider à accroître la valeur de votre entreprise et à vous préparer à ce qui vous attend. Nos équipes des Services-conseils transactionnels et des Services en fiscalité soutiennent les propriétaires qui veulent vendre leur entreprise. Nous avons offert des conseils stratégiques à un certain nombre d’entreprises avant, pendant et après le processus de transaction. Nous sommes un guichet unique pour tous vos besoins. Communiquez avec nous pour savoir comment nous pouvons vous aider à vendre votre entreprise. Plus de la moitié des Canadiens seront appelés à renouveler leur prêt hypothécaire d’ici 2026, et, dans le contexte où la Banque du Canada a commencé à diminuer son taux directeur en le faisant passer, le 5 juin dernier, de 5,0 % à 4,75 %, de nombreux propriétaires se demandent pour quelle stratégie hypothécaire opter, entre un taux fixe ou variable. Comprendre les options disponibles et anticiper les changements est essentiel pour naviguer avec succès dans ce paysage financier en évolution.
En effet, une cohorte importante de propriétaires devront renégocier leur prêt hypothécaire au cours des trois prochaines années au Canada. Ceux qui ont opté pour des prêts à taux variable ou qui ont contracté un prêt en 2021, au creux des taux historiquement bas, seront particulièrement affectés par les ajustements prévus. Pour ceux et celles qui devront bientôt composer avec ce nouvel environnement hypothécaire, voici des pistes de réflexion pour prendre une décision éclairée. Portrait actuelAlors que les taux variables étaient historiquement plus bas lors du boom immobilier de la pandémie de COVID-19, la tendance s’est inversée récemment avec des taux variables maintenant supérieurs à ceux des taux fixes. Le taux d’intérêt variable sur cinq ans tourne autour de 6,7 % actuellement, alors que le taux fixe oscille autour de 5,6 %. Le taux variable dépend de plusieurs facteurs économiques et même si la Banque du Canada a déjà amorcé un virage en réduisant son taux directeur pour la première fois en quatre ans, elle pourrait réagir autrement si l’inflation remontait trop dans les mois à venir. Ceci étant dit, de nombreux économistes s’attendent à d’autres baisses du taux directeur d’ici la fin de 2024, et cette tendance devrait se poursuivre en 2025, à moins de chamboulements considérables de l’économie. Mais, même si nous avons commencé une période de diminution des taux d’intérêt, les taux historiquement bas que nous avons connus au cours des deux dernières décennies sont chose du passé. Ce que vous devez savoir à propos des taux variablesEn ce qui concerne les prêts hypothécaires à taux variable, lorsque le taux préférentiel augmente (le taux préférentiel est influencé par le taux de prêt au jour le jour de la Banque du Canada), les paiements hypothécaires augmentent automatiquement. En revanche, dans le cas d’un prêt à taux variable assorti d’une option de remboursement fixe, les mensualités restent inchangées, même en cas d’augmentation du taux d’intérêt. Au lieu de cela, ce type de prêt hypothécaire à taux variable modifie la période d’amortissement du prêt (le temps nécessaire pour rembourser l’intégralité du prêt hypothécaire). Cela s’explique par le fait qu’une part moins importante de chaque versement est affectée au remboursement du capital de l’hypothèque. Bien comprendre ses besoinsD’abord, le choix entre un taux fixe et un taux variable dépend largement de la tolérance au risque de l’emprunteur et de la situation personnelle. Les taux variables étant sujets à des fluctuations, il est important de vous demander si votre style de vie peut s’adapter à ces changements. Même si les taux d’intérêt commencent à diminuer, les facteurs économiques qui influent sur leur direction sont nombreux et peuvent survenir à tout moment de votre terme hypothécaire. D’autre part, le bon produit hypothécaire pour vous dépend de votre situation à court et moyen terme. Si vous êtes actuellement en période de transition (changement professionnel, séparation, etc.), vous voudrez vous possiblement opter pour un taux fixe qui vous offre la stabilité. Options stratégiques pour les emprunteursTaux fixe à terme plus courtDans un contexte d’incertitude économique, de plus en plus d’emprunteurs optent pour des prêts hypothécaires à taux fixe sur des durées plus courtes (un, deux ou trois ans). Ainsi, dans un environnement où les taux changent rapidement, les emprunteurs peuvent s’assurer des paiements mensuels prévisibles sans avoir besoin de conserver le même taux à long terme. Taux hybrideCette option combine les caractéristiques personnalisées d’un taux variable et d’un taux fixe – une partie de l’hypothèque est assortie d’un taux d’intérêt fixe et l’autre d’un taux d’intérêt variable. L’emprunteur peut ainsi bénéficier du meilleur des deux mondes. Prêt hypothécaire convertible Ce type de prêt offre la possibilité de convertir un prêt à taux variable en un prêt à taux fixe, ou vice versa, avant l’échéance, ce qui permet à l’emprunteur d’adapter sa stratégie financière hypothécaire aux conditions du marché. Consultez un professionnelAlors que les prix de l’immobilier restent élevés en raison d’une demande soutenue, le choix du bon produit hypothécaire revêt une importance cruciale. Il est recommandé de consulter un courtier ou un représentant hypothécaire pour explorer les scénarios adaptés à chaque situation individuelle. Anticiper les fluctuations des taux d’intérêt et ajuster votre stratégie financière en conséquence peut faire une grande différence dans la gestion de votre prêt hypothécaire à long terme. La Banque du Canada procède à une deuxième baisse consécutive de son taux directeur à 4,50%.8/13/2024 Pour la deuxième fois consécutive, la banque centrale du Canada a réduit son taux de financement à un jour. Dans son annonce préprogrammée de juillet 2024, la Banque du Canada a abaissé le taux cible du financement à un jour de 25 points de base, à 4,50 %. Bien que l’inflation reste supérieure à l’objectif de 2 % de la Banque, on s’attend à ce qu’elle continue de diminuer à mesure que l’économie mondiale se développe en 2026, ce qui conforte la décision de la Banque de continuer à baisser ses taux. Lors de la conférence de presse qui a suivi l’annonce, Tiff Macklem, gouverneur de la Banque du Canada, a déclaré que le risque que l’inflation continue de croître doit être mis en balance avec le risque d’un affaiblissement de l’économie et de l’inflation. « Pour l’avenir, nous prévoyons une nouvelle modération de l’inflation, même si les progrès au cours de l’année prochaine seront probablement inégaux. Cette prévision reflète les forces opposées qui affectent l’inflation. La faiblesse générale de l’économie tire l’inflation vers le bas. Simultanément, les pressions sur les prix dans le secteur du logement et dans certains autres services maintiennent l’inflation à un niveau élevé », a déclaré M. Macklem. « Nous sommes de plus en plus convaincus que les ingrédients nécessaires pour ramener l’inflation à son niveau cible sont en place. Mais ces forces opposées font que le déclin de l’inflation sera probablement progressif et qu’il pourrait y avoir des revers en cours de route. » Que signifie une deuxième baisse des taux pour les acheteurs de propriétés ?Malgré la baisse très attendue des taux d’intérêt en juin – la première baisse du taux de financement au jour le jour en quatre ans – la légère diminution des taux d’intérêt le mois dernier n’a pas encouragé autant d’acheteurs de logements à revenir sur le marché que prévu. Cependant, avec une deuxième baisse consécutive des taux d’intérêt, une diminution de 50 points de base des taux d’intérêt pourrait inciter un plus grand nombre de candidats à l’accession à la propriété à relancer leur projet d’achat.
Selon un récent sondage de Royal LePage, mené par Léger,1 51 % des Canadiens qui ont mis en veilleuse leur projet d’achat de maison au cours des deux dernières années ont déclaré qu’ils reviendraient sur le marché lorsque la Banque du Canada réduirait son taux d’intérêt directeur. 18 % ont déclaré qu’ils attendraient une réduction de 50 à 100 points de base, et 23 % ont dit qu’ils auraient besoin d’une réduction de plus de 100 points de base avant d’envisager de reprendre leurs recherches. « Notre étude montre que de nombreux acheteurs potentiels attendent un signal concret de la Banque du Canada indiquant que l’économie va dans la bonne direction. Une deuxième réduction du taux de financement à un jour indique précisément cela, et comme les seuils d’admissibilité aux prêts hypothécaires continuent de baisser, les acheteurs mis de côté peuvent avoir la confiance dont ils ont besoin pour faire leur retour sur le marché de l’habitation », a déclaré Karen Yolevski, chef des opérations de Royal LePage Real Estate Services Ltd. « Nous nous attendons à ce que cela entraîne un léger regain des activités à court terme, suivi d’une demande d’achat plus robuste à l’automne. Entre-temps, l’offre de logements, qui faisait cruellement défaut, s’est accumulée sur les principaux marchés au cours des derniers mois, offrant aux acheteurs un plus grand nombre d’options. Outre la baisse des taux d’intérêt, cette situation pourrait également inciter davantage d’acheteurs à revenir sur le marché dans un avenir proche. » La Banque du Canada fera sa prochaine annonce le mercredi 4 septembre. Lisez le rapport complet du 24 juillet ici. Faits saillants nationaux :
Faits saillants dans la région du Grand Montréal :
LISEZ NOTRE ARTICLE DE BLOGUE TABLEAU DES DONNÉES COMMUNIQUÉ NATIONAL Le marché immobilier printanier est bel et bien entamé. L’activité des acheteurs s’est accélérée plus tôt que prévu au premier trimestre 2023, ce qui a fait grimper les prix des maisons par rapport au dernier trimestre de l’année dernière. Par conséquent, on s’attend à ce que les prix des maisons au Canada continuent de grimper, bien qu’à un rythme beaucoup plus lent qu’au cours des deux dernières années. Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat au Canada augmentera de 4,5 % au quatrième trimestre de 2023, comparativement au même trimestre de 2022. La prévision précédente a été révisée à la hausse pour refléter le regain d’activité plus rapide que prévu observé dans les principaux marchés du logement au pays. Après des niveaux d’activité au cours du premier trimestre de 2023 ayant dépassé les attentes de l’entreprise, soit un retour vigoureux de la demande des acheteurs jumelé à une offre de propriétés très limitée, Royal LePage a ajusté ses prévisions trimestrielles pour le reste de l’année. Au cours des neuf prochains mois, le prix de l’agrégat national devrait continuer à augmenter modestement d’un trimestre à l’autre. « Après une correction, il est courant de sous-estimer la vitesse à laquelle le marché se redressera. Comme l’activité du marché reprend plus vite que prévu, nous envisageons l’avenir avec un optimisme prudent, mentionne Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. Même si nous ne nous attendons pas à des hausses de prix considérables cette année, le marché retrouve une certaine normalité, et cela devrait continuer si les taux d’intérêt restent stables. » Selon l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage publiée aujourd’hui, le prix de l’agrégat d’une résidence au Canada a diminué de 9,2 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 778 300 $ au cours du premier trimestre de 2023. Cependant, sur une base trimestrielle, le prix de l’agrégat d’une résidence au Canada a augmenté de 2,8 %, alors que les acheteurs commencent à revenir sur le marché après que la Banque du Canada a décidé, le mois dernier, de stopper les hausses des taux d’intérêt pour la première fois en un an. « Depuis le début de la pandémie de COVID-19, le marché immobilier canadien n’a rien de “typique”. Les confinements ont paralysé le marché de l’immobilier au tout début de 2020, avant que la révolution du télétravail ne le catapulte dans une frénésie de deux ans, toutes saisons confondues, caractérisée par des volumes de ventes records et une croissance agressive des prix », mentionne M. Soper. « Comme tout marché, celui-ci s’est emballé et la correction inévitable a été déclenchée lorsque la Banque du Canada a commencé à relever rapidement les taux d’intérêt. Le ralentissement a été rapide et la dépression du secteur immobilier s’est poursuivie pendant douze mois, soit une correction plus longue que celle qui avait suivi la crise financière il y a treize ans. Nous avons franchi le tournant et l’économie du logement renoue avec la croissance, ce qui n’est pas trop tôt pour de nombreux acheteurs, qui attendaient patiemment que les prix atteignent leur niveau le plus bas. » Consultez le communiqué de Royal LePage du premier trimestre 2023 pour plus de renseignements sur les tendances régionales et nationales. Points saillants du communiqué de presse :
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